vue - Agriculture familiale, solution contre la faim et le chomage en RD Congo
On dit que derrière chaque grand homme se cache une femme. C'est en tout cas vrai pour Mbinze Godefroid. Sa coutume lui interdisant de travailler dans les champs, ce sont les encouragements de sa femme et l'amour pour cette dernière qui l'ont poussé à franchir l'interdit, pour nourrir sa famille. En définitive, leur amour aura été plus fort que les préjugés, plus fort que les qu'en dira-t-on. Aujourd'hui, la petite famille mange à sa faim et avec la garantie d'avoir un travail honnête et de mettre quelques sous de côté.
Commentaires
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Bravo la famille j adore
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Très beau reportage! Espérons que cette initiative se fera à plus grande échelle à travers la RDC!
Merci! -
Merci beaucoup Mike kambamba pour nous qui Somme a l exterieure du pays votre page est un receuille de nostalgie
Dieu vous benisse pour l amour envers votre pays et Que Dieu benisse la Republique Democratique du Congo .
courage -
Du moin il y a dans cette terre des gens qui évitent de demander et vouloir ne rien faire ils ont trouvé un autre moyen de survie en agriculture que de vivre dans la capitale avec un salaire qui ne se sert que 10 jours
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Merci cher Mike pour ce reportage extrêmement important. Jusqu'à présent je ne comprends pas pourquoi le gouvernement traine les pieds dans le lancement d'une politique agricole multi-stratégique.
Le gouvernement ne fait pas rien. Il fait très bien avec les fermes agro-industrielles telles que Bukanga-Lonzo ainsi qu'avec la politique de regroupement de villages. Mais pourquoi tant de timidité? Regardons ce documentaire et nous voyons très bien que même cette agriculture pas très sophistiquée peut aider des millions de personnes à sortir du chomage. Surtout les jeunes gens dans les milieux urbains qui à cause de l'oisiveté deviennent agressifs et ainsi constituent des candidats idéal à la manipulation des Occidentaux et des opposants opportunistes qu'ils soutienent au Congo. C'est un danger que de laisser ces jeunes à la merci de ces manipulateurs. Mettons les au travail même si nous n'avons pas des tracteurs pour tous.
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