vue - Agriculture: un fertilisant naturel pour remplacer l'engrais
Marcel Mézy, un agriculteur de l'Aveyron, détient une recette secrète : un fertilisant naturel aujourd'hui utilisé par 5,000 paysans en France sur 350,000. Cet humus concocté à partir de matières végétales est devenu un best-seller qu'il vend en France et à l'étranger, à la barbe des multinationales qui commercialisent des engrais chimiques. Durée: 01:57
Commentaires
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rien de nouveau ni secret:les mycorhizes sont partout.http://www.dailymotion.com/video/xy09ao_lydia-et-claude-bourguignon-2-15-le-sol-attache-des-argiles-et-des-humus_webcam
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Ce serais tellement génial de généraliser des choses comme celles-çi.
ça mettrais un bon coup de bâton à ses enfoirés de multinationales comme le très impopulaire Monsanto parmi les personnes lucides et honnêtes!
j'adhère complètement aux méthodes naturelles, les champignons sont importants dans la vie du sol. -
intéressant puis je le diffusé dans notre chaine svp
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Ces engrais meme bio, fertilisent la plante mais ne nourissent pas la vie de la terre, ils sont relativement inutiles, les elements risquant d etre lessivé surtout si terre retournée dnac plus de complexe argilo humique. La fertilisation de la vie du sol est la seule culture naturelle
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j'espère que quelqu'un trouvera la recette et la divulguera gratuitement et largement, pour le bien de la planète et de ses habitants
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égoïste !!
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Pas question de divulguer la recette, sa serait tellement bête d'aider le monde... Voilà une limite imposé par l'argent, on fera avec le plus important c'est que cela va dans le sens de se que l'on sens et découvre depuis des années. La terre n'est pas un support inerte et nous avons bien des choses à apprendre et découvrir :)
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c'est nimporte quoi. il a rien inventer du tout il copy juste la nature ce connard.
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ce système marche en France sans probleme mai il faut rester vigilant sur les modes d applications et la base de la reussite est l agriculteur.
on peut faire du non labour a ce jour avec des engins pas trop onéreux et le tout doit correspondre a une approche technico .
la gestion de la biologie du sol est primordial pour ma part je ma gére avec des activateurs biologique type tonyx surtout les premieres années -
Matière organique et humus, différences et complémentarités
La gestion de la matière organique peut bien souvent se résumer à la caricature suivante : il faut mettre de la matière organique, si possible du compost, pour augmenter l’humus, ce qui entraînera automatiquement un accroissement de l’activité biologique des sols et une prospérité garantie des cultures !
Malheureusement, les agrobiologistes qui ont voulu mettre en pratique ce postulat n’ont pas tous obtenu les miraculeux résultats escomptés.
C’est que les écosystèmes sol-climat présentent une assez grande diversité et que, si des lois générales peuvent décrire l’évolution de la matière organique dans les sols, les phénomènes à l’œuvre ont des poids relatifs fort variables.
Avec le moins d’a priori possible, il faut commencer par évaluer l’importance des phénomènes en cours et leur répercussion sur la culture en place. Si l’on dispose d’apports ou de pratiques pouvant influencer tel ou tel phénomène, il s’agit de gérer un équilibre, cad de favoriser , si besoin, un processus fertilisant évolutif et surtout d’éviter d’accroître un processus préjudiciable à la productivité de la culture.
La matière organique du sol est-elle de l’humus ?
Les conditions pédo-climatiques déterminent les possibilités de transformation des matières organiques dans le sol.
Ces possibilités peuvent être regroupées dans trois tendances :
La minéralisation est la décomposition des molécules organiques sous des formes simples et solubles, qui servent de nutriments pour les microorganismes et les plantes mais peuvent également subir des phénomènes de lessivage.
L’humification est définie comme une réorganisation de la matière organique par l’activité microbienne, sous des formes insolubles pouvant être à nouveau minéralisées. C’est le processus le plus favorable.
L’accumulation concerne les matières organiques qui échappent à l’activité biologique, cad qui ne sont ni minéralisées, ni humifiées ; elles alimentent un cycle géologique (tourbe, charbon,…) mais ne participent pas à la fertilité du sol.
Ces trois phénomènes existent dans tous les sols mais dans des proportions très variables.
Les techniques fertilisantes les plus efficaces sont celles qui orientent l’évolution des MO vers l’humification en adéquation avec l’évolution même du sol ( texture et structure ).
Les apports organiques sont-ils toujours bons ?
La fertilisation organique, si elle paraît plus naturelle, peut causer des problèmes et les analyses « classiques » sont peu de recours pour choisir un produit plutôt qu’un autre. Le recours aux composts peut être source de désillusions car l’apport de carbone, trop stabilisé par le processus de compostage, non seulement n’augmente pas l’intensité de l’activité microbienne, mais peut créer une carence en azote, pouvant se répercuter au niveau de la plante.
Les gros apports d’engrais organique, de compost ou même de mulch, modifient autant , sinon plus, le « terroir » que les apports minéraux injustifiés.
La nature de l’apport organique est un facteur fondamental à prendre en compte. Les seules matières organiques pouvant faire de l’humus stable sont les cellulose et la lignine et elles sont évidemment les plus difficiles à minéraliser.
De manière plus générale, un apport organique ne peut pas à la fois minéraliser facilement et faire de l’humus stable.
La condition primordiale pour permettre à cette double dynamique de s’installer de façon pérenne et irréversible dans le temps est d’agir sur le contrôle du milieu afin de sélectionner naturellement les groupes microbiens en charge de ces orientations ( minéralisation et stabilité )
Les produits d’origine animale, les tourteaux et les plantes jeunes sont de type minéralisant, ex. lisier, fientes, farines plumes, cornes, tourteaux, engrais verts, capables de stimuler l’activité microbienne mais ne constitueront jamais une source d’humus stable.
Inversement, les produits pailleux ou ligneux sont de type stabilisant, ex. pailles, bois, écorces, résidus cultures, compost +/- mûr, cad qu’ils sont une source d’humus stable mais ne stimuleront jamais l’activité biologique intense.
De ce point de vue, il faut rappeler que le compostage consiste en une stabilisation de la matière organique : plus il est poussé loin, moins l’activité microbienne du sol sera favorisée.
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Holy-Terrorist:>*=* Est-ce que le fertilisant naturel est pas dangereux à long terme?
Pourquoi la terre est noire? -
Même si cela peut paraître bien, cela rendra encore des gens dépendants du commerce de tels ou tels et on repart dans l'idée de marketing et d'achat, ect...
Il n'y a pas besoin de tout cela. Dieu a pourvu dans la nature, il suffit d'utiliser la technique du recouvrement du sol (mulch) avec de la paille, herbes, feuilles morte, ou bien épis sec, et ne pas travailler la terre et ce que Dieu a créé qui sont les vers de terre feront le travail et fertiliseront la terre, la terre s'autofertilise ainsi. Allez voir dans les forêts là où la main de l'homme n'a jamais été et demandez-vous comment cela pousse. Voir la permaculture sans engrais bio et autres et ses résultats.
La permaculture est la culture qui respecte l'écosystème que Dieu a créé. Des agriculteurs ont déjà compris la technique de recouvrement du sol et s'y sont mis. Si l'homme arrêtait de martyriser la terre en la labourant sans cesse comme il le fait, elle pourrait enfin respirer et serait bien plus productive.
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