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Chemtrails : Olgacom, la piste polonaise Ciel voilé Le 11 février 2014 http://www.cielvoile.fr/ En juin 2011, une jeune polonaise, Alenka Wacek, qui a été employée pendant deux ans par une société nommée Olgacom Global, dépose une vidéo de 6' sur You Tube ( la seule qu'elle y déposera). Elle y révèle que l'activité réelle de cette société polonaise n'est pas de vendre des plateaux repas pour les compagnies aériennes, comme le montrait à l'époque son site depuis disparu, mais d'assurer la logistique d'un large réseau d'épandages aériens clandestins de produits ou déchets chimiques, à grande échelle. Pourquoi le dirigeant d'une telle société rencontrerait-il le représentant du N°1 de la chimie chinoise, à l'occasion d'une visite du Prince Willem Alexander en Chine ? Elle reçoit aussitôt de son employeur un email d'intimidation lui rappelant les clauses de confidentialité de son contrat de travail et lui recommandant de cesser ses activités en ligne. « Pensez à vos amis » lui écrivait l'employeur, « Nous « gérons » actuellement votre comportement sur internet ». Son site est rapidement attaqué : liens détournés vers des sites pornographiques, pédophiles ou pire, newsletter qui ne fonctionne pas. Aucun article ne sera ajouté. Est-elle toujours vivante ? Son site sera uniquement alimenté par des dizaines de twitts du monde entier chaque jour. Beaucoup en provenance d'Asie, la vidéo montre pourquoi. Au milieu de tous ces signes indéchiffrables pour un occidental, émergeait le seul mot écrit dans notre alphabet : chemtrails. Une célébrité du domaine, Ken Caldeira, y annoncera même la sortie de son livre le 13 janvier 2013 ! Mais cette effervescence d'échanges ne durera que deux ans : à partir du 12 juin 2013, même les twitts seront « empêchés » : message : « erreur, réessayez plus tard ! ». Que d'autres courageux comme cette jeune femme, comme Snowden, se lèvent et révèlent la vérité pour défendre l'intérêt de tous, et l'avenir de l'humanité. Ils sont si rares et si précieux. Toute notre gratitude à eux.