221Nombre de vues
5Évaluation

Selon ces malades suprematistes un noir aurait inventé la bombe nucléaire en Amérique, Hanibaal le phenicien d'Afrique du nord était selon les mythomaniaques un noir et donc l'inventeur de l'alphabet aussi, ils disent avoir aussi inventé la roue , ils comparent les femmes blanches au singes, les blancs sont comparer au hommes des cavernes avec des os dans le nez (accusation inversatoire). Après la fin de la deuxième guerre mondial des africains noirs ont commencés à revendiqués les histoires des autres peuples en particulier l'histoire égyptienne, phenicienne, sumerienne, akkadienne, grecs, romaines, juive, arabe, musulmane (des maures à salahdin), le président français du Sénégal Léopold Senghor l'ami de Diop était un afrocentriste, de part l'Afrique noire ces théories sont enseignées du Zimbabwe au Sénégal, Congo ou au Kenya comme sur la vidéo, ils ce remontent le moral en mentent, ils disent que les premières civilisations sont noires, les religions aussi, ils raconte qu' il formèrent une arristocratie thalasocratique entre l'Afrique du Nord, le moyen orient et l 'Europe, ils édiferent les megalythes avec stone edge comme point final, ils disent que les blancs descendent d'albinos dégénérés et que les asiatique mongoloide sont un mix de tribu noire khoi-San avec des albinos, lilias homburger une gourrou blanche propagea une thèse sur la prétendue pseudo filiation entre l égyptien ancien et les langue negro africaine qui servira avec Volney, de base pour les pseudo travaux d'Anta Diop, ce qui n'est reconnus par aucuns linguistes. Alors qu' ils (les nigero-bantou) serrait selon certains un mix d'Eurasiens et de pygmées datant de la préhistoire lors de la propagation de l'agriculture. Quoiqu'il en soit aucune civilisation ne s'est développé au sud de Meroe, aucun alphabet, aucun savant, aucun philosophe le neant. Voilà le mépris égyptien envers les noirs , il y dix-neuf siècles avant notre ère, une stèle fut érigée par Sésostris III et portait cette inscription : "Frontière sud, stèle élevée en l’an VIII, sous le règne de Sésostris III, roi de Haute et de Basse-Égypte, qui vit depuis toujours et pour l’éternité. La traversée de cette frontière par terre ou par eau, en barque ou avec des troupeaux est interdite à tout noir, à la seule exception de ceux qui désirent la franchir pour vendre ou acheter dans quelque comptoir. Ces derniers seront traités de facon hospitalière, mais il est à jamais interdit à tout noir, dans tous les cas, de descendre le fleuve en barque au-delà de Heh." Voilà le mépris arabe antique contre les noirs dans ce très vieux poème, Quraysh, la tribu mecquoise de premier plan, subit ainsi le mépris pour avoir déployé des soldats africains : « Ta retraite de lache a déshonoré Quraysh, Tout autant que l’engagement de Noirs aux larges épaules » ». A Uhud plus tard, un Ethiopien du nom de Su’ab fut le porte-bannière des Qurayshi jusqu’à sa mort. Cela aussi provoqua les sarcasmes : « Vous vous vantiez de votre drapeau ; Pourtant la pire raison de se vanter Etait d’avoir donné un drapeau à Su’ab. Vous avez fait vantardise d’un esclave, la créature la plus misérable Qui ait jamais foulé la terre" Plus tard sous les abbassides al masudi l herodote arabe disait : " Taous el-Yemani, compagnon d’Abdallah, fils d’el-Abbas, ne touchait pas à la chair d’un animai tué par un Zendji, parce que, disait-il, le Zendji est un être hideux. J’ai entendu dire qu’Abou’l-Abbas er-Radi billah, fils d’el-Moktadir, n’acceptait rien de la main d’un noir, parce que c’était un esclave hideux. J’ignore s’il se conformait, en agissant ainsi, à la doctrine de Taous, ou s’il suivait quelque précepte philosophique particulier."