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(en français ci-après) ••• Alligators Suffer Gruesome Deaths in Texas In Winnie, Texas, there’s an alligator factory that sends skins to an Hermès-owned tannery, and there, PETA’s investigator found alligators kept in fetid water and dank, dark sheds without sunshine, fresh air, clean water, or even basic medical care. At just 1 year old, alligators are shot with a captive-bolt gun or crudely cut into while they’re still conscious and able to feel pain. Our investigator documented the following actions by workers there: Repeatedly shooting alligators in the head with a captive-bolt gun. Cutting into more than 500 conscious alligators as some struggled to escape. Stabbing conscious alligators to try to dislocate their vertebrae—even though a manager had admitted that “reptiles will continue to live” after that. The investigator saw alligators continuing to move their legs and tails in the bleed rack and in bloody ice bins several minutes after their attempted slaughter. After the alligators’ miserable lives and sometimes slow, gruesome deaths, their skins are sent to France and made into “luxury” items such as watchbands. ••• MORE / POUR EN SAVOIR PLUS : http://www.petafrance.com/automation/newsItem.asp?id=2873 ••• L'HORREUR D'HERMÈS EN VIDÉO : DES REPTILES VIVANTS DÉCOUPÉS À LA SCIE DANS L'ÉLEVAGE D'UN FOURNISSEUR Un exposé de PETA montre les conditions misérables et la mort atroce des reptiles qui sont transformés en sacs de « luxe » Birkin ou en bracelets de montre Un nouvel exposé de PETA sur des élevages fournissant les peaux de crocodile et d'alligator aux tanneries appartenant à Hermès, pour fabriquer des sacs Birkin vendus à plus de 37.000 € ou des bracelets à 1.700 €, dévoilent des conditions ignobles et des infractions présumées des lois d'état et fédérale dans un élevage d'alligators du Texas. Les reptiles sont piégés dans des fosses lugubres où ils sont entassés, et dans l'élevage du Texas, se font scier le cou, certains bougeant encore pendant plusieurs minutes après avoir été attaqués au couteau ou au cutter dans un élan d'abattage barbare. Les images, disponibles ici, ont poussé PETA à demander à Hermès de cesser la fabrication et la vente de produits en peaux exotiques, dont ces animaux sauvages paient le prix astronomique. Ces actes de cruauté envers des animaux, semble-t-il illégaux, ont été filmés par un enquêteur dans l'élevage Lone Star Alligator Farms à Winnie, au Texas, où les employés ont tiré dans la tête des alligators, parfois à plusieurs reprises, avec un pistolet d'abattage et leur ont scié le cou avec un cutter pour sectionner leurs artères. Certains animaux survivaient et étaient vus en train de bouger encore dans les récipients d'eau glacés plusieurs minutes après. Lorsque le pistolet d'abattage semblait mal fonctionner, le responsable de l'établissement a donné pour instruction aux employés de découper des centaines d'alligators conscients et d'essayer de disloquer leurs vertèbres, puis d'enfoncer un bâton en métal dans leur colonne vertébrale afin de mouliner leur cervelle. Le responsable désignait les alligators en les appelant « bracelets de montre », puisqu'une partie de leur peau est utilisée pour fabriquer les bracelets de « luxe » des montres Hermès. Des images tournées par des enquêteurs de PETA US à Kariba au Zimbabwe, dans les élevages de crocodiles de Padenga Holdings, fournissant la peau des sacs Birkin, montrent des fosses bétonnées toutes remplies d’environ 220 crocodiles. Padenga dirige l'un des plus importants parcs d'élevage au monde de crocodiles du Nile, et, avec 43.000 animaux abattus en 2014 seulement, représente presque 85 % de la production totale de peaux de crocodiles du Nil destinées à la mode de luxe. Le directeur des opérations de Padenga dit que le marché des sacs de « luxe » a la peau dure. Padenga détient également 50 pour cent du business texan. « Les révélations de PETA sur les fournisseurs d'Hermès montrent que chaque bracelet de montre ou chaque sac Birkin est la trace qu'un être vivant et sensible a enduré une vie misérable et une mort atroce », déclare Isabelle Goetz, porte-parole de PETA France. « Des gens paient des milliers d'euros pour ces accessoires, mais ce sont les reptiles de ces élevages intensifs cruels et répugnants qui en paient le vrai prix. »