vue - LA BRETAGNE | 2000 ANS D’HISTOIRE | FRANCE INTER
L'histoire de la Bretagne commence avec un peuplement dont les traces remontent à la préhistoire, dès 700 000 ans av. J.-C. La période néolithique qui commence vers 5000 av. J.-C. se caractérise dans la région par le développement d'un mégalithisme important se manifestant dans des sites comme le cairn de Barnenez, le cairn de Gavrinis, la table des Marchand de Locmariaquer ou les alignements de Carnac. Au cours de sa protohistoire qui commence vers le milieu du IIIe millénaire av. J.-C., le sous-sol riche en étain permet l'essor d'une industrie produisant des objets de bronze, ainsi que de circuits commerciaux d'exportation vers d'autres régions d'Europe. Elle est habitée par des peuples gaulois comme les Vénètes ou les Namnètes dans les premiers siècles avant notre ère avant que ces territoires ne soient conquis par Jules César en 57 av. J.-C., puis progressivement romanisés. Faisant partie de l'Armorique lors de la période gallo-romaine, elle voit se développer un commerce maritime important autour des ports de Nantes, Vannes et Alet, ainsi que des usines de salaison le long de ses côtes. Lorsque le pouvoir romain connait des crises aux ıııᵉ et vᵉ siècles, les premiers Bretons insulaires sont appelés par le pouvoir impérial pour aider à sécuriser son territoire, commençant ainsi un mouvement migratoire qui se poursuit jusqu'au vie siècle, et donnant naissance à plusieurs royaumes dans la péninsule. C'est pour prévenir des incursions bretonnes que le royaume franc voisin met en place une marche de Bretagne incorporant le comté de Rennes et celui de Nantes. Les Mérovingiens puis les Carolingiens tentent du vie siècle au vıııᵉ siècle d'intégrer cette région au royaume franc, avec des succès limités et éphémères. L'unité de la région sous la forme du royaume de Bretagne se fait en 851 avec le roi Erispoë, fils de Nominoë, mais ne perdure pas à cause des querelles de succession et des incursions normandes. Dès 939, un duché de Bretagne prend sa suite dans des frontières quasi définitives, administré par des ducs issus de maisons bretonnes de 939 à 1166, avant qu'il ne tombe dans la sphère d'influence des Plantagenêts puis des Capétiens. La guerre de Succession de Bretagne voit s'affronter de 1341 à 1364, sur fond de Guerre de Cent Ans, différentes factions qui luttent pour s'approprier le duché. Un pouvoir autonome émerge ensuite lors des xıvᵉ et xvᵉ siècles, qui mène une politique d'indépendance vis-à-vis du royaume de France, mais qui aboutit finalement à l'union de la Bretagne à la France en 1532. La province bretonne intégrée au royaume français conserve une relative autonomie, bénéficiant d'institutions propres. Après une période de forte croissance économique et démographique aux xvıᵉ et xvııᵉ siècles grâce à une période de paix retrouvée, la Bretagne connait une période plus trouble de la fin du xvııᵉ siècle à la Révolution française en 1789. Dissoute en 1790, son territoire est réparti entre les cinq départements des Côtes-du-Nord, du Finistère, d'Ille-et-Vilaine, de la Loire-inférieure et du Morbihan. Lors d'un long xıxᵉ siècle marqué par une modernisation de son agriculture et par une explosion démographique, une émigration dans le reste de la France se développe. Terre alors réputée conservatrice, elle voit néanmoins se développer des mouvements ouvriers importants dans des villes comme Brest, Lorient ou Saint-Nazaire. La Première Guerre mondiale constitue un tournant important pour les Bretons, qui découvrent alors d'autres modes de vie, que certains vont chercher peu à peu à intégrer. La question de la place de la langue bretonne et des traditions de la région devient l'élément central d'un mouvement politique breton qui commence à émerger à la même époque. Un long processus de modernisation court des années 1920 aux années 1970, de concert avec un mouvement de réaffirmation culturelle. Source : Wikipédia — https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_Bretagne ━━━━━━━━━━━━━━━ 2000 ans d’histoire — France Inter « Une Histoire de la Bretagne », émission du 11 septembre 2008 Patrice GÉLINET recevait Alain CROIX, historien et universitaire, auteur de « La Bretagne : Entre histoire et identité » paru chez Découvertes Gallimard en avril 2008.
Commentaires
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désinformation la Bretagne est une colonie et la Bretagne n'as pas deux langues mais trois la langue du colon le français la Breton et le Gallo https://www.youtube.com/watch?v=Gagc8eMHzvo
https://www.youtube.com/watch?v=zg2O8Ux01xU
https://www.youtube.com/watch?v=SWpyI_8N94M
https://www.youtube.com/watch?v=d_yYBtU5mLs -
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Vive la France ! -
I love Bretagne
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LA BRETAGNE EST SOUVERAINE EN DROIT PAR LES TRAITES SIGNES PAR LOUIS XII , ROI DE FRANCE, en Janvier 1499 (2 Lettres Traités publiées le 7 pour le mariage avec Anne de Bretagne et le 19 Janvier concernant les Généralités du retour à la souveraineté) – Traité Jamais dénoncé par nominations d’Ambassadeurs des 2 parties.
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DOCTEUR MELENNEC, historien de la Bretagne.
I - L'INVRAISEMBLABLE FALSIFICATION DE L'HISTOIRE DE LA BRETAGNE, PAR LES "HYSTORIENS" COMPLICES DU SYTEME.
Se peut-il que des « hystoryens » bretons, dont plusieurs sont pourvus des titres de « docteur » et d’agrégé » aient falsifié notre histoire nationale, au point d’oser écrire des contre-vérités surprenantes, jusqu’à aujourd’hui ? Les voici, d’une manière non limitative :
– La nation bretonne n’existe pas, et n’a jamais existé (Minois);
– La nation bretonne a été inventée par les « folkloristes » du 19ème siècle (idem);
– La Bretagne a toujours fait partie de la France; les ducs de Bretagne l’ont reconnu en prêtant hommage de soumission au roi de France;
– La Bretagne du moyen-âge ne met pas en cause son appartenance au royaume de France (Incroyable mais vrai; cette phrase est de Kerhervé, in Le Moal, préface, page 9).
– La Bretagne n’est juridiquement pas un Etat : « Elle fait figure d’Etat, non de droit, mais de fait (le même, mêmes références, incroyable mais vrai).
– Le concept de nation bretonne a été « fabriqué » de toutes pièces par le clergé et les clercs de l’entourage du Duc, pour mieux exploiter le peuple breton;
– Les nobles et le clergé bretons se sont servis de ce concept dans leur seul intérêt; la nation bretonne n’existe pas, ils l’ont fabriquée pour l’exploiter (!);
– Le sentiment national n’existe en Bretagne, et encore tout balbutiant, que depuis le 15ème siècle (Kerhervé, Aux origines du sentiment national);
– La Bretagne n’a jamais été indépendante, mais a « joué » le jeu de l’indépendance », s’attribuant des prérogatives souveraines qu’elle n’avait pas Kerhervé, récidiviste, entre autres, parle de « pratique indépendantiste », et de « ducs quasi-souverains »);
– L’hommage du duc de Bretagne au roi de France est un acte de soumission, par lequel le duc reconnait qu’il « tient » son Duché du roi de France, et que lui et les Bretons sont ses sujets;
– Les invasions de 1487 à 1492 sont de simples opérations de police, par lesquelles le roi de France a obligé la Bretagne, vassale indocile, à obéir à son maître, le roi de France …
– La Bretagne a « sollicité » (sic ! ) sa « réunion » à la France, librement et de son plein gré, en 1532 (Pocquet, tome V, 14 et suivantes);
– La Bretagne et la France ont toujours battu d’un même coeur, et étaient prédestinées à s’unir d’amour tendre (Gabory, Pocquet), de telle sorte que « l’union » des deux pays a été une opération de génie (Poquet, IV, page 583, et surtout tome VI, page 22), bien pire : un « mariage d’amour » (sic !)
– L’annexion de 1532 est un acte « génial », par lequel la Bretagne entre dans la Grande Patrie (!), « dont elle complète si heureusement l’unité territoriale et politique » (Cette phrase invraisemblable est de l’inénarrable Pocquet, tome VI, page 22).
– L’Union de la Bretagne est de la France est un « mariage d’amour ». Sic ! Refrain souvent entendu. Entre autres « hystoriens » bretons : Gilles Martin-Chauffier, assurément non historien, mais romancier. C’est ce qu’on nous apprenait autrefois au lycée, sans aucune autre précision pour nous faire avaler la « pilule ». Ce fut, en réalité, une haine réciproque et féroce.
II - INCROYABLE MAIS VRAI ?
Incroyable ? Non ! Lisez les livres publiés depuis trente ans par ceux qui ont osé enseigner ces absurdités.
Le « concentré » de tout cela se trouve dans le livre de Georges MINOIS, docteur et agrégé en histoire : Duguesclin, Fayard, Paris 1993 pages 431 et suivantes …. c’est une anthologie des invraisemblances qui ont tenu nos jeunes bretons, intellectuellement prisonniers, jusqu’à ces toutes dernières années. Cela ruine définitivement toute la carrière de cet homme.
Les voila enfin délivrés de leurs chaines mentales, pour penser librement leur avenir.
Chacun doit assumer ses responsabilités.
Les copistes étant déjà à l’oeuvre, sans jamais citer leurs sources, je revendique hautement d’avoir remis l’édifice en place, par mes publications, conférences et émissions depuis vingt ans.
J’ai annoncé ce programme en 2007 sur la toile (http://www.site.louis-melennec.fr/note-etudiants-histoire.htm) : le voila réalisé.
On parle maintenant, en des termes clairs, de crime de lèse-nation commis par ceux qui ont voté l’amputation de la Bretagne en 2014, privant notre pays de 33 pour cent de sa richesse nationale, et de la nécessité de les juger. J’approuve cette analyse, n’y étant pas entièrement étranger.
Le livre bleu de la Bretagne va reparaître dans sa troisième édition, avant la fin de l’année 2016. il fait partie intégrante de notre histoire. C’est un concentré de l’histoire de Bretagne. Il a été complété par plus de deux cents articles dans mes blogs, et dans différents sites, qui n’ont pas encore été lus par les « hystoryens ».
Lorsque les étudiants en histoire auront reconquis le droit de s’exprimer librement, ayant enfin compris que cette belle « république » est celle du mensonge, de l’humiliation et des non-droits de l’homme, on se trouvera bien de confier aux plus brillants d’entre eux, deux ou trois thèses magistrales qui rétabliront la vérité dans l’université, avec toutes les références nécessaires.
Je reviendrai plus tard sur les motivations de ceux qui se sont adonnés à ces pratiques. Toutes ne sont pas vulgaires, certains y ont été contraints pour vivre ou pour survivre.
LIRE, PEREMPTOIREMENT, si possible en famille :
- La Shoah bretonne, par Google.
- Le Livre Bleu de la Bretagne, téléchargeable sur la toile.
Ces deux ouvrages flanquent littéralement par terre les mensonges et les atrocités sur lesquels la France a construit son absurde roman national.
A DIFFUSER, SANS MODERATION.
LOUIS MELENNEC. -
en _57 oui,ajoutez également aux romains la présence de cavaliers mercenaires celtes probablement commander par Vercingétorix.Un héros pour les français qui se prennent pour des "gaulois" et un traitre pour les Celtes.Bon stratège mais piètre leader vite dépassés par ses subordonnées.La motivation des armoricains et bretons à Alésia devait être très légère finalement.
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Ce n'est pas un traité d'union mais un édit.Pour le reste c'est assez approximatif eti il manque quelques épisodes comme la bataille de Hastings et le commerce entre gals Vénètes et Brittoniques acté en -500 par exemple.Et les conclusions?Les Bretons et les gallo sont de cultures celtes ,rien à voir avec le français de souche(mot celte gal!)?Nantes est notre capitale merci de ne plus diviser notre pays.Nous en rirons ensemble quand l'Allemagne mettra Paris en Germanie.Bref c'est pas mal pour expliquer la Bretagne aux non breton mais concrètement c'est déjà quelques années de retard en terme de recherche historique.Pas médiocre donc mais peut mieux faire!
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DE LOUIS MELENNEC, docteur en droit et en médecine, historien, DEA d'histoire de droit moderne délivré par la Sorbonne.
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Alain Croix existe-t-il encore ? Ses idées sont fausses archi-fausses. C'est pitoyable. IL est temps de passer à d'autres exercices : aller, il est temps d'aller dormir.
Toutes ces insanités sont à la poubelle depuis au moins dix ans.
Lire : Le livre bleu de la Bretagne, 300 000 exemplaires téléchargés sur la toile.
La Shoah bretonne.
Les armées de la liberté en Bretagne.
Le génocide breton.
Plus récemment : le long entretien accordé à Louis Mélennec, diffusé en plusieurs langues par LA PRAVDA.
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L’HISTOIRE DE BRETAGNE EST DESORMAIS REMISE D’APLOMB. Il est temps de siffler la fin de la récréation.
LA FALSIFICATION DE L’HISTOIRE PAR LES HISTORIENS ET PAR LES « HYSTORYENS » BRETONS.
Avant de lire le présent article, tapez dans Google, ce que ni vos « hystoryens » bretons, ni votre république des droits de l’homme, ni surtout vos « élus », payés pour se taire, ne vous ont enseigné à l’école : génocide breton, génocide vendéen, génocide camerounais, shoah bretonne. Votre propre histoire bretonne va prendre un tout autre relief à vos yeux : vous avez été trompés, roulés, bafoués, trainés dans la boue par ceux qui avaient mission de vous ouvrir les yeux, et de vous protéger. Le temps a sonné de leur demander des comptes. Et ne soyez pas timides, cette fois !
Durant la semaine écoulée, trois médias étrangers – au moins – ont parlé des problèmes bretons. Tapez dans Google : La Bretagne veut en découdre avec la France; Novo Rossia to day : La Bretagne est un Etat indépendant; Bretagne; Kabylie : Lettre de Louis Mélennec à M. Jean-Luc Mélenchon..
Se peut-il que des « hystoryens » bretons, dont plusieurs sont pourvus des titres de « docteur » et d’agrégé » aient falsifié notre histoire nationale, au point d’oser écrire des contre-vérités surprenantes, jusqu’à aujourd’hui ? Les voici, d’une manière non limitative :
– La nation bretonne n’existe pas (Minois);
– La nation bretonne a été inventée par les « folkloristes » du 19ème siècle (idem);
– La Bretagne a toujours fait partie de la France; les ducs de Bretagne l’ont reconnu en prêtant hommage de soumission au roi de France;
– Le concept de nation bretonne a été « fabriqué » de toutes pièces par le clergé et les clercs de l’entourage du Duc, pour mieux exploiter le peuple breton;
– Les nobles et le clergé bretons se sont servis de ce concept dans leur seul intérêt; la nation bretonne n’existe pas, ils l’ont fabriquée pour l’exploiter (!);
– Le sentiment national n’existe en Bretagne, et encore tout balbutiant, que depuis le 15ème siècle (Kerhervé, Aux origines du sentiment national);
– La Bretagne n’a jamais été indépendante, mais a « joué » le jeu de l’indépendance », s’attribuant des prérogatives souveraines qu’elle n’avait pas Kerhervé, entre autres, parle de « pratique indépendantiste », et de « ducs quasi-souverains »);
– L’hommage du duc de Bretagne au roi de France est un acte de soumission, par lequel le duc reconnait qu’il « tient » son Duché du roi de France, et que lui et les Bretons sont ses sujets;
– Les invasions de 1487 à 1492 sont de simples opérations de police, par lesquelles le roi de France a obligé la Bretagne, vassale indocile, à obéir à son maître, le roi de France …
– La Bretagne a « sollicité » (sic ! ) sa « réunion » à la France, librement et de son plein gré, en 1532 (Pocquet, tome V, 14 et suivantes);
– La Bretagne et la France ont toujours battu d’un même coeur, et étaient prédestinées à s’unir d’amour tendre (Gabory, Pocquet), de telle sorte que « l’union » des deux pays a été une opération de génie (Poquet, IV, page 583, et surtout tome VI, page 22), bien pire : un « mariage d’amour » (sic !)
– L’annexion de 1532 est un acte « génial », par lequel la Bretagne entre dans la Grande Patrie (!), « dont elle complète si heureusement l’unité territoriale et politique » (Cette phrase invraisemblable est de l’inénarrable Pocquet, tome VI, page 22).
INCROYABLE MAIS VRAI.
Incroyable ? Non ! Lisez les livres publiés depuis trente ans par ceux qui ont osé enseigner ces absurdités.
Le « concentré » de tout cela se trouve dans le livre de Georges MINOIS, docteur et agrégé en histoire : Duguesclin, Fayard, Paris 1993 pages 431 et suivantes …. c’est une anthologie des invraisemblances qui ont tenu nos jeunes bretons, intellectuellement prisonniers, jusqu’à ces toutes dernières années.
Les voila enfin délivrés de leurs chaines mentales, pour penser librement leur avenir.
Chacun doit assumer ses responsabilités.
Les copistes étant déjà à l’oeuvre, sans jamais citer leurs sources, je revendique hautement d’avoir remis l’édifice en place, par mes publications, conférences et émissions depuis vingt ans.
J’ai annoncé ce programme en 2007 sur la toile (http://www.site.louis-melennec.fr/note-etudiants-histoire.htm) : le voila réalisé.
On parle maintenant, en des termes clairs, de crime de lèse-nation commis par ceux qui ont voté l’amputation de la Bretagne en 2014, privant notre pays de 33 pour cent de sa richesse nationale, et de la nécessité de les juger. J’approuve cette analyse, n’y étant pas entièrement étranger.
Le livre bleu de la Bretagne va reparaître dans sa troisième édition, avant la fin de l’année 2016. il fait partie intégrante de notre histoire. C’est un concentré de l’histoire de Bretagne. Il a été complété par plus de deux cents articles dans mes blogs, et dans différents sites, qui n’ont pas encore été lus par les « hystoryens ».
Lorsque les étudiants en histoire auront reconquis le droit de s’exprimer librement, ayant enfin compris que cette belle « république » est celle du mensonge, de l’humiliation et des non-droits de l’homme, on se trouvera bien de confier aux plus brillants d’entre eux, deux ou trois thèses magistrales qui rétabliront la vérité dans l’université, avec toutes les références nécessaires.
Je reviendrai plus tard sur les motivations de ceux qui se sont adonnés à ces pratiques. Toutes ne sont pas vulgaires, certains y ont été contraints pour vivre ou pour survivre.
LOUIS MELENNEC.
Pour en savoir plus : Louis Mélennec, wikipédia. -
7:35 "rattachement sans douleur"... difficile à entendre, la guerre d’indépendance Bretonne de 1487 à 1491 à fait environ 15 000 morts, sans compter les civils...
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c est tres intéressant
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Je suis certains que les bretons sont des extra terrestres
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Je suis certain que quasiment tous les Bretons n'ont aucune idée de tout ce qui est dit dans ce documentaire.
47Évaluation