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L'augmentation de l'acidité des mers fragilise les coraux. Le programme « Biorock » essaie de freiner cette tendance grâce à l'électricité afin d'augmenter la croissance et la résistance des coraux. Des structures métalliques, sur lesquelles des coraux ont été fixés, sont immergées et parcourues par un courant de faible intensité. La survie des « coraux Biorock » est 16 à 50 fois supérieure à la normale. http://www.greenpod.fr/ Bonjour et bienvenu sur Greenpod la revue de presse vidéo web du développement durable ! Aujourd'hui dans Greenpod la mer se rebiffe! Le nombre à retenir c'est 26 ! Chaque seconde 26 m2 de terres agricoles disparaissent en France. Le principal coupable : l'urbanisation qui, de zones industrielles en centres commerciaux, d'habitations en parkings, domine toujours plus les paysages. L'augmentation de l'acidité des mers fragilise les coraux, 20% des récifs auraient déjà disparu et 56 % seraient en danger. De nombreux programmes de préservation et de repeuplement des récifs ont été mis en place. Mais un nouveau programme « Biorock » fait lui appel, à l'électricité. Des structures métalliques, sur lesquelles des coraux ont été fixés, sont immergées et parcourues par un courant de faible intensité. Ce qui provoque une électrolyse de l'eau et la cristallisation de carbonate de calcium, nécessaire à leur croissance. Qui plus est la croissance des coraux est 3 à 5 fois supérieure à celle mesuré dans la nature. Ils possèdent d'ailleurs, plus d'algues symbiotiques nécessaires à leur survie. Les coraux fixés aux dispositifs électrifiés sont également plus résistants face aux dégradations de la qualité de l'eau et au réchauffement climatique. La survie des « coraux Biorock » est 16 à 50 fois supérieure à la normale. Les coraux ne sont pas les seuls à en profiter puisque de nombreux d'organismes trouvent refuge au sein des structures métalliques. Bref les modules immergés sont donc de vrais réservoirs de biodiversité. Dans la bataille sans merci qu'ils livrent aux chasseurs de baleines japonais, les militants écologistes de l'ONG Sea Shepherd, peuvent maintenant compter sur une nouvelle arme bien plus sophistiquée que leur arsenal traditionnel : des drones. Portée de 300 km, autonomie de plusieurs centaines d'heures, résistance à des vents de 50 nœuds, les engins, équipés de GPS et de caméras, ont pu fournir coordonnées, vidéos et images fixes des baleiniers qui tentaient d'échapper aux poursuites dans l'immensité des océans, et ce malgré des conditions météorologiques extrêmes. Si l'ONG, que le gouvernement japonais a voulu classer hors-la-loi, se démène tant pour combattre les embarcations nippones, c'est que la pêche à la baleine fait l'objet d'un moratoire international depuis 1986. Mais Tokyo se livre à des "prélèvements", sous couvert de recherches scientifiques. Au cours des quinze dernières années, environ 15 000 baleines ont ainsi été pêchées sans que la Commission baleinière internationale ne bronche. La palme pour la couronne anglaise qui a fait installer 2 turbines Archimède géantes, de 12m et de 40 tonnes chacune, destinées à alimenter en électricité le château des Windsor à Londres, où vit la reine. Ces hélices, dont la forme a été imaginée par le mathématicien Archimède il y a 2 200 ans, sont propulsées par le débit de la Tamise pour fournir du courant. Ca turbine pour la Queen !