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La position du syndicat paysan d'Aouloz sur le projet G1 soutenu par la banque allemande de développement (400 millions dirhams) ! Les paysan(ne)s d'Aoulouz comme tout les paysan(ne)s de Taroudant subissent de multiples exploitions l'invasion des grands propriétaires sut les terre collectives, puis par leur exploitation dans leurs domaines et en fin dans leurs coopératives et associatives agricoles. Le vol des biens des paysan(ne)s par les sections de coopérative COPAG : coopérative Touksous à Aoulouz par exemple ! Comment les voleur des biens publics peuvent arriver à la direction des organisations des paysan(ne)s pour mettre leur mains sur l'argent des paysan(ne)s. Le président de la coopérative COPAG et son conseil administratif sont les premiers responsables en coopération avec le crédit agricole : comment tous les paysan(ne)s doivent payer l'argent volé ! Une autre façon d'exploiter les sang et la sieur des paysan(ne)s. Quelle est la position de l'Etat envers ces lourds dossiers ? L'ensemble des coopératives et associations agricoles constitues une machine à mouler le sang et la sieur des paysan(ne)s pour extraire l'argent pure versé au comptes des grands propriétaires. La banque allemande de développement entre en coopération avec l'Etat marocain sur le dit modernisation d'irrigation des terres des petits paysan(ne)s par la méthode Goute-à-Goute sans savoir qu'elle entre en relation avec la mafia du vol des biens des paysan(ne)s. Dans la rencontre du 13 novembre 2013 sur le projet G1 d'Aoulouz le syndicat paysan a bien montrer aux représentants de la banque comment ce marché est monté pour servir de vol des biens publics et que la banque est entrain de s'introduire dans le conflit de l'eau d'Aoulouz. Depuis le début de la construction du barrage d'Aoulouz en 1985 les paysan(ne)s sont entrés dans une nouvelle ère d'exploitation sauvage proche d'esclavage pour réserver l'eau aux grands propriétaire au Souss. Le soutien de la banque ne peut être que l'appui de la politique des classes suivi par l'Etat au domaine agricole. Le syndicat paysan d'Aoulouz lutte depuis 13 pour le droit des paysan(ne)s à l'eau, la terre et les ressources naturelles et qu'il refuse tout projet qui ne met pas en considération le développement durable de la femme paysanne exploitée dans les champs dans des condition proche de l'esclavage. La femme qui consiste tout sa journée à travailler pour une ou plusieurs vaches pour offrir le lait à la coopérative COPAG qui récolte des milliards sur le sang et la sieur de 13000 familles paysannes à Taroudant. Bureau Provincial de Taroudant