vue - Les Villes du Futur (3/3) - ARTE
À l’heure où les ressources énergétiques traditionnelles s’amenuisent, des villes comme Hambourg ou Paris parient sur les smart grids ou réseaux intelligents, qui permettent d’analyser la consommation des foyers en temps réel et d’ajuster la production. Optimiser les déplacements des piétons et des voitures fait également partie des priorités des grandes villes, toujours plus congestionnées. Alors que des systèmes de vélos ou de voitures électriques en libre-service sont progressivement mis en place à travers le monde, des métropoles comme Londres ont recours à la numérisation pour fluidifier le trafic. En modélisant les croisements des passants du carrefour d’Oxford Circus, un ingénieur informatique a ouvert la voie à un remaniement des voies piétonnes. Poussant la logique encore plus loin, les smart communities de Shanghai numérisent la vie des citadins, de leurs achats à leurs examens médicaux en passant par leurs activités bénévoles. Des économistes renommés tels que Jeremy Rifkin, penseur de "l’internet de l’énergie", et des urbanistes contestataires comme Adam Greenfield s’affrontent autour de ces nouvelles perspectives : hyperrationnelles, 100 % durables et parfaitement sûres, les cités "intelligentes" permettent de fluidifier l’ensemble des secteurs de la vie urbaine, tout en réveillant la peur du cauchemar orwellien. Villes du futur, futur des villes Multipliant les exemples révélateurs et les interventions d’experts - architectes, économistes, sociologues, entrepreneurs, ingénieurs informatiques, etc. -, cette série documentaire en trois volets offre une immersion passionnante dans l’avenir des villes. De l’Amérique du Nord à l’Asie en passant par l’Europe, ce tour d’horizon des innovations urbaines fantasmées ou en marche s’accompagne d’une réflexion philosophique et politique saisissante sur nos vies citadines, d’ores et déjà placées sous le règne de l’algorithme. Les nouvelles villes, qui se distinguent par leur gestion des plus efficientes, trouveront-elles leur identité ? Faut-il renoncer à la liberté pour assurer la sécurité ? L’informatique favorisera-t-elle les interactions entre les individus ou annonce-t-elle l’avènement d’un pouvoir ultracentralisé ? Des questions fondamentales auxquelles seuls les citoyens, qui expérimentent ces transformations, et à qui le documentaire donne la parole, peuvent répondre. À l’heure où les ressources énergétiques traditionnelles s’amenuisent, des villes comme Hambourg ou Paris parient sur les smart grids ou réseaux intelligents, qui permettent d’analyser la consommation des foyers en temps réel et d’ajuster la production. Optimiser les déplacements des piétons et des voitures fait également partie des priorités des grandes villes, toujours plus congestionnées. Alors que des systèmes de vélos ou de voitures électriques en libre-service sont progressivement mis en place à travers le monde, des métropoles comme Londres ont recours à la numérisation pour fluidifier le trafic. En modélisant les croisements des passants du carrefour d’Oxford Circus, un ingénieur informatique a ouvert la voie à un remaniement des voies piétonnes. Poussant la logique encore plus loin, les smart communities de Shanghai numérisent la vie des citadins, de leurs achats à leurs examens médicaux en passant par leurs activités bénévoles. Des économistes renommés tels que Jeremy Rifkin, penseur de "l’internet de l’énergie", et des urbanistes contestataires comme Adam Greenfield s’affrontent autour de ces nouvelles perspectives : hyperrationnelles, 100 % durables et parfaitement sûres, les cités "intelligentes" permettent de fluidifier l’ensemble des secteurs de la vie urbaine, tout en réveillant la peur du cauchemar orwellien. Villes du futur, futur des villes Multipliant les exemples révélateurs et les interventions d’experts - architectes, économistes, sociologues, entrepreneurs, ingénieurs informatiques, etc. -, cette série documentaire en trois volets offre une immersion passionnante dans l’avenir des villes. De l’Amérique du Nord à l’Asie en passant par l’Europe, ce tour d’horizon des innovations urbaines fantasmées ou en marche s’accompagne d’une réflexion philosophique et politique saisissante sur nos vies citadines, d’ores et déjà placées sous le règne de l’algorithme. Les nouvelles villes, qui se distinguent par leur gestion des plus efficientes, trouveront-elles leur identité ? Faut-il renoncer à la liberté pour assurer la sécurité ? L’informatique favorisera-t-elle les interactions entre les individus ou annonce-t-elle l’avènement d’un pouvoir ultracentralisé ? Des questions fondamentales auxquelles seuls les citoyens, qui expérimentent ces transformations, et à qui le documentaire donne la parole, peuvent répondre.
Commentaires
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Tout simplement génial... juste maintenant la question du coût !
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Après les voitures nucléaires, les vélos nucléaires, voici les fermes nucléaires... Un bâtiment qui va produire certes de la nourriture, mais je suis curieux de savoir l'énergie électrique que cela demande et toutes les ressources nécessaires à la mise en oeuvre du bâtiment. On peut appeler ça de l'agriculture artificielle. La prochaine étape c'est la nourriture par les gélules.
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omar seydina
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44:13 "Shangai fait face a un gros problème, il n'y a plus de main d'oeuvre, il n'y a plus de main d'oeuvre agricole, en fait si il y en a une mais elle est âgée de 70 ou plus" et là t'a une vielle qu'apparait à l'écran, le montage est mythique
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Quelle bonne idee!
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cree une montagne artificel. la ferme sera sur la montagejardin babylone
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love it!
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ça peut changé notre mode de vie dans le monde
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non mais non mais non...... je vais ptet passer pour un anti technologie mais la..... l'idee peut paraitre bonne mais.... il y a tellement de contre sens !!! la question de l'eau.... une plante ne consomme pas plus d'eau dans le sol que dans une ferme hydro. D'ailleurs la plante sert de filtre et dépollue les sols naturellement (elle et l'ecosystème microbien qui se développe autour des racines). La différence c'est que l'eau qui passe en serre hydro deviens quoi ? Ensuite j'ai un sérieux doute sur la qualité non seulement organoleptique mais également nutritive des légumes (il y a qu'a voir la qualité des légumes hors saison). Ensuite, le cocktail boosté c'est bien beau mais mes molécules viennent d'ou ? C'est très certainement chimique et l'industrie des engrais chimiques consomme une quantité astronomique d'énergie et de ressources qui sont amenées a disparaitre aussi meme si on l'oublie. D'ailleurs, la question de l'énergie. Quelle source apporte la quantité énorme d'énergie qu'il faut pour faire tourner ces fermes ? Bref, je vais pas continuer. pour moi ce n'est pas forcément la solution. "Faire mieux que la nature"... alors que dans tous les domaines on apprend de la nature (cf le biomimétisme) c'est ironiquement en agriculture que l'on coupe le lien avec celle-ci. Je vais donc continuer a faire arreter les gens de manger des tomates en hiver car c'est absurde et continuer a essayer de rapprocher les citadins des produits fermiers, au naturel, qui peut nourrir des gens, et beaucoup. Il faut juste redécouvrir le fait de manger des produits de SAISON.
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31:09, C'est dommage que la traduction (ou l'original...) soit foireux, "lumen par kWh" n'a pas de sens, quand bien même ça aurait été lumen / kW, ce serait incohérent aussi pour une valeur de 50 ou 200...
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Documentaire très intéressant. Merci!
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À l’heure où les ressources énergétiques traditionnelles s’amenuisent, des villes comme Hambourg ou Paris parient sur les smart grids ou réseaux intelligents, qui permettent d’analyser la consommation des foyers en temps réel et d’ajuster la production. Optimiser les déplacements des piétons et des voitures fait également partie des priorités des grandes villes, toujours plus congestionnées. Alors que des systèmes de vélos ou de voitures électriques en libre-service sont progressivement mis en place à travers le monde, des métropoles comme Londres ont recours à la numérisation pour fluidifier le trafic. En modélisant les croisements des passants du carrefour d’Oxford Circus, un ingénieur informatique a ouvert la voie à un remaniement des voies piétonnes. Poussant la logique encore plus loin, les smart communities de Shanghai numérisent la vie des citadins, de leurs achats à leurs examens médicaux en passant par leurs activités bénévoles. Des économistes renommés tels que Jeremy Rifkin, penseur de "l’internet de l’énergie", et des urbanistes contestataires comme Adam Greenfield s’affrontent autour de ces nouvelles perspectives : hyperrationnelles, 100 % durables et parfaitement sûres, les cités "intelligentes" permettent de fluidifier l’ensemble des secteurs de la vie urbaine, tout en réveillant la peur du cauchemar orwellien.
Villes du futur, futur des villes
Multipliant les exemples révélateurs et les interventions d’experts - architectes, économistes, sociologues, entrepreneurs, ingénieurs informatiques, etc. -, cette série documentaire en trois volets offre une immersion passionnante dans l’avenir des villes. De l’Amérique du Nord à l’Asie en passant par l’Europe, ce tour d’horizon des innovations urbaines fantasmées ou en marche s’accompagne d’une réflexion philosophique et politique saisissante sur nos vies citadines, d’ores et déjà placées sous le règne de l’algorithme. Les nouvelles villes, qui se distinguent par leur gestion des plus efficientes, trouveront-elles leur identité ? Faut-il renoncer à la liberté pour assurer la sécurité ? L’informatique favorisera-t-elle les interactions entre les individus ou annonce-t-elle l’avènement d’un pouvoir ultracentralisé ? Des questions fondamentales auxquelles seuls les citoyens, qui expérimentent ces transformations, et à qui le documentaire donne la parole, peuvent répondre.
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