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Aéroport de Mascouche : Il semble que depuis le départ de ce projet d’aéroport le maire Guillaume Tremblay et ses conseillés ont prit le parti de sacrifier les citoyens du secteur 2 et d ‘exproprier des propriétaires vivant sur leur terre agricole sans aucune sollicitude. Au delà du déménagement de l‘aéroport qui ne serait que déplacer le problème et non de le régler, le Maire de Mascouche crée un malaise bien plus profond dans sa ville ; il divise et va continuer de diviser la population. Il va puiser dans les fonds de la ville, des contribuables pour un projet qui n’est pas d'intérêt public. Mais surtout, quelle aberration de laisser des aéroports ou des héliports en activité si près des villes, des écoles, des maisons et des autoroutes… Le Québec ne manque pourtant pas de place, un pilote m’a dit «vous comprenez l‘aéroport est là à Mascouche depuis plus de 25 ans… » A mon avis cela ne devrait pas lui conférer de légitimité bien au contraire, un aéroport devrait avoir une durée de vie équivalent au développement des zones urbaines autour de celui-ci. Il faut que transport Canada puisse maintenant prendre en considération un peu mieux l'environnement dans lequel un aéroport opère et non se soucier uniquement des normes attenant aux pistes, au bruit mais à la réel proximité de la population. Il faut que transport Canada puisse anticiper sur une échelle de 15 à 20 ans (via image satellite) ou le développement urbain se fera et de concéder ainsi des autorisations d'insertion d’aéroport suffisamment éloigné de tout habitat raisonnable pour un temps donné. Leur laissant le droit de résilier cette autorisation si la croissance du développement urbain est plus rapide que prévu. Cela existe déjà en ce qui concerne l’achat de terrains par de grands groupes immobilier. Pour l’aéroport de Mascouche l’analyse la plus sensée et raisonnable s’il n’y aurait aucun parti pris étrange ou aucune motivation persistante de la part de vision démocratique, serait de fermer présentement l‘aéroport et l’héliport et de concéder un terrain dans une commune suffisamment éloignée de tout habitat pour former et entrainer les pilotes. Un rayon de 15 a 20 km minimum, éloigné d’une agglomération comme Mascouche serait acceptable.