vue - NON à l'expropriation: Marche contre le projet d'Aéroport de Mascouche (23-08-14)
Aéroport de Mascouche : Il semble que depuis le départ de ce projet d’aéroport le maire Guillaume Tremblay et ses conseillés ont prit le parti de sacrifier les citoyens du secteur 2 et d ‘exproprier des propriétaires vivant sur leur terre agricole sans aucune sollicitude. Au delà du déménagement de l‘aéroport qui ne serait que déplacer le problème et non de le régler, le Maire de Mascouche crée un malaise bien plus profond dans sa ville ; il divise et va continuer de diviser la population. Il va puiser dans les fonds de la ville, des contribuables pour un projet qui n’est pas d'intérêt public. Mais surtout, quelle aberration de laisser des aéroports ou des héliports en activité si près des villes, des écoles, des maisons et des autoroutes… Le Québec ne manque pourtant pas de place, un pilote m’a dit «vous comprenez l‘aéroport est là à Mascouche depuis plus de 25 ans… » A mon avis cela ne devrait pas lui conférer de légitimité bien au contraire, un aéroport devrait avoir une durée de vie équivalent au développement des zones urbaines autour de celui-ci. Il faut que transport Canada puisse maintenant prendre en considération un peu mieux l'environnement dans lequel un aéroport opère et non se soucier uniquement des normes attenant aux pistes, au bruit mais à la réel proximité de la population. Il faut que transport Canada puisse anticiper sur une échelle de 15 à 20 ans (via image satellite) ou le développement urbain se fera et de concéder ainsi des autorisations d'insertion d’aéroport suffisamment éloigné de tout habitat raisonnable pour un temps donné. Leur laissant le droit de résilier cette autorisation si la croissance du développement urbain est plus rapide que prévu. Cela existe déjà en ce qui concerne l’achat de terrains par de grands groupes immobilier. Pour l’aéroport de Mascouche l’analyse la plus sensée et raisonnable s’il n’y aurait aucun parti pris étrange ou aucune motivation persistante de la part de vision démocratique, serait de fermer présentement l‘aéroport et l’héliport et de concéder un terrain dans une commune suffisamment éloignée de tout habitat pour former et entrainer les pilotes. Un rayon de 15 a 20 km minimum, éloigné d’une agglomération comme Mascouche serait acceptable.
Commentaires
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Quand Madame Crevier diT
"A mon avis cela ne devrait pas lui conférer de légitimité bien au
contraire, un aéroport devrait avoir une durée de vie équivalent au
développement des zones urbaines autour de celui-ci."
Faut-il comprendre qu'en raison de l'incurie de nos adminitrateur publique à vouloir perpétuer le développement autour des aééroports, héliport et aérodrome en ne protégeant pas ses installations par des règlement de zone aéroportuaires on devrait démolir Dorval, Laguardia ou Toronto Island. Est-ce bien ça le message. Investir des centaines de millions pour ensuite suprimer des emplois et détruire des infrastructure.
Elle ajoute:
"Mais surtout, quelle aberration de laisser des aéroports ou des
héliports en activité si près des villes, des écoles, des maisons et des
autoroutes…"
L'aéroport de Dorval ou de Mascouche était bien visible le jour ou des citoyens ont décider de s'y établir, non?
Et poursuit comme suit:
"Il faut que transport Canada puisse maintenant prendre en considération
un peu mieux l'environnement dans lequel un aéroport opère et non se
soucier uniquement des normes attenant aux pistes, au bruit mais à la
réel proximité de la population."
Transport Canada s'assure de la sécurité aérienne, entre autre. En bref, Transport Canada détermine si un projet d"aéroprt se situe dans un milieu bâti ou pas. Mascouche à vue le jour il y a de celà près de 40 ans, la pluspart des citoyens de Mascouche ne vivaient pas dans notre régions au moment de son établissement et elle était en pleine zone non bâti. À qui la faute, vos élus, ceux-la même que vous avez mis en place.
Puis elle dit:
"(via image satellite) ou le développement urbain se fera et de concéder
ainsi des autorisations d'insertion d’aéroport suffisamment éloigné de
tout habitat raisonnable pour un temps donné"
Pour ma part, je considère qu'un autoroute fait beaucoups plus de bruit et ce de manière constante, proposez-vous la fermeture de l'auroute 25 ou 640? Lorsqu'on déscide de s'établir en ville, il faut apprendre à vivre avec les contraintes.
La cerise sur le Sundae, madame ajoute":
"Pour l’aéroport de Mascouche l’analyse la plus sensée et raisonnable
s’il n’y aurait aucun parti pris étrange ou aucune motivation
persistante de la part de vision démocratique, serait de fermer
présentement l‘aéroport et l’héliport et de concéder un terrain dans une
commune suffisamment éloignée de tout habitat pour former et entrainer
les pilotes. Un rayon de 15 a 20 km minimum"
Si on vous a bien compris, il faut l'envoyer en zone agricole, votre quiétude est plus importante que celle des campagnards? -
Aéroport de Mascouche :
Il semble que depuis le départ de ce projet d’aéroport le maire Guillaume Tremblay et ses conseillés ont prit le parti de sacrifier les citoyens du secteur 2 et d ‘exproprier des propriétaires vivant sur leur terre agricole sans aucune sollicitude.
Au delà du déménagement de l‘aéroport qui ne serait que déplacer le problème et non de le régler, le Maire de Mascouche crée un malaise bien plus profond dans sa ville ; il divise et va continuer de diviser la population. Il va puiser dans les fonds de la ville, des contribuables pour un projet qui n’est pas d'intérêt public.
Mais surtout, quelle aberration de laisser des aéroports ou des héliports en activité si près des villes, des écoles, des maisons et des autoroutes… Le Québec ne manque pourtant pas de place, un pilote m’a dit «vous comprenez l‘aéroport est là à Mascouche depuis plus de 25 ans… »
A mon avis cela ne devrait pas lui conférer de légitimité bien au contraire, un aéroport devrait avoir une durée de vie équivalent au développement des zones urbaines autour de celui-ci.
Il faut que transport Canada puisse maintenant prendre en considération un peu mieux l'environnement dans lequel un aéroport opère et non se soucier uniquement des normes attenant aux pistes, au bruit mais à la réel proximité de la population.
Il faut que transport Canada puisse anticiper sur une échelle de 15 à 20 ans
(via image satellite) ou le développement urbain se fera et de concéder ainsi des autorisations d'insertion d’aéroport suffisamment éloigné de tout habitat raisonnable pour un temps donné. Leur laissant le droit de résilier cette autorisation si la croissance du développement urbain est plus rapide que prévu.
Cela existe déjà en ce qui concerne l’achat de terrains par de grands groupes immobilier.
Pour l’aéroport de Mascouche l’analyse la plus sensée et raisonnable s’il n’y aurait aucun parti pris étrange ou aucune motivation persistante de la part de vision démocratique, serait de fermer présentement l‘aéroport et l’héliport et de concéder un terrain dans une commune suffisamment éloignée de tout habitat pour former et entrainer les pilotes. Un rayon de 15 a 20 km minimum, éloigné d’une agglomération comme Mascouche serait acceptable.
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