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Le 1er novembre 2015 au soir, nous allons voir nos chats restés sur place lors de l’expulsion dont j’entends bien parvenir à démontrer un jour l’illégalité – comme chaque matin et chaque soir. Mais ce soir-là, il y a une lumière dans le logement. J’appelle le 17 pour le déclarer en disant que je le fais en raison de toutes les fausses accusations que j’entends de la part de Monsieur Cordier assisté de son cabinet d’avocats en salle d’audiences pour ne surtout pas être accusée d’y être rentrée. Le gendarme en ligne me dit qu’il voit avec le propriétaire et qu’il enverra une patrouille s’il y a besoin. Quelques instants après, Monsieur Cordier arrive en voiture et il repart en faisant demi-tour devant le portail de ce qu’il prétend un haras (Charlène a pris en photos en saccades) puis il stoppe au bout de l’allée. Quelques minutes plus tard, une brigade de deux gendarmes arrive en me disant que je n’ai pas le droit de me poster devant chez Monsieur Cordier pour lui en interdire l’accès. Quand je réponds que je ne l’ai pas fait parce que j’étais dans la voiture et que ma fille en a la preuve, j’entends qu’ils vont bien trouver un délit à me coller. Interloquée ! Charlène réalise l’importance de ce qui est en train de se passer et commence à filmer pour le cas où. Arrivent Monsieur Cordier (emphytéote de ces terres agricoles déclarées non bâties aux Impôts sur lesquelles il exploite un établissement sans SIRET – avec un ERP pension de chevaux sans arrêté d’ouverture - et où il loue entant que particulier un logement indigne bien maquillé construit sans permis ; voir l’histoire complète sur YouScribe http://www.youscribe.com/christiane-ballasi/) et Monsieur Brac de la Perrière (propriétaire initial des terres qui continue à en exploiter une partie avec une société radiée depuis 2006). Ces messieurs commencent à m’insulter et à lancer des fausses accusations. Alors qu’il nous demande de partir, Monsieur Brac de la Pierre crie qu’il va dégonfler et crever les pneus de la voiture (notre logement de SDF) et qu’il va venir avec son Manitou embrocher la voiture par les vitres et la détruire, qu’il l’a déjà fait devant gendarmes. Lorsque Monsieur Brac de la Perrière me dit que je suis chez lui, je lui réponds que non (Monsieur Cordier nous en a fourni les preuves dans le dossier pour le Conseil de Prud’hommes). En voyant la lueur dans son regard ; du coup, il sait bien évidemment que je connais l’ampleur des délits qu’il commet et que j’en ai la preuve - ce que ceux qui le disent magouilleur n’ont pas. Monsieur Brac de la Perrière montre un signe de violence et un gendarme s’interpose face à moi. L’autre gendarme demande à Monsieur Cordier et Monsieur Brac de la Perrière de s’écarter avec lui pour discuter. Celui qui s’est interposé reste avec nous sans réaction appropriée à ce que nous venons de vivre : il nous dit que Monsieur Brac de la Perrière va régler ça comme au Moyen Age. Puis il va rejoindre le petit groupe qui n’en finit pas de discuter. La suite – à laquelle nous étions bien loin de nous attendre - dans la deuxième vidéo.