vue - Portrait d'un éleveur de porcs des Côtes d'Armor
Nicolas Le Borgne a repris l'élevage de son père il y a 5 ans. Depuis l'embargo russe et la chute du prix du porc il n'arrive plus à joindre le deux bouts et l'exploitation est en danger. Un reportage de M.Villaverde et N.Rossignol diffusé dans le journal 19/20 de France 3 Bretagne le 19 février 2015
Commentaires
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FRANCE DE MERDE COMPETEMENT SOUMIS AUX MARCHÉ FINANCIER INCAPABLE DE S'AFFIRMER UNE AGRICULTURE QUI A LA BASE ÉTAIT SAINE, POUR AUJOURD'HUI S'AGENOUILLER DEVANT DES PRO DE LA GROSSE FINANCE DE MERDE, RESULTAT, UNE FRANCE QUI SUIT LE MODÈLE ECONOMIQUE AMERICAIN QUI VA DROIT DANS LE MUR
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Je n'élève pas des cochons mais des poulets, 800 poulets par an en vente directe,ça me rapporte 700 Euros par mois,c'est pas énorme je sais,mais je n'ai investie que 7000 euros en poulailler ,du matériel de tuerie,etc,je comprend pas certains paysans qui sont prêt à investir 1 millions d'euros pour gagner le smic !
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Parce que le modèle industriel vanté par les multinationales était un mensonge, au détriment des producteurs et de l'économie de nos territoires (et des consommateurs évidemment). Objectif donc aujourd'hui : réduire l'endettement, stopper la dépendance aux multinationales de l'agrochimie qui ont pris en otage la profession des éleveurs, et dire au revoir à la grande distribution. Moyens : passons aux circuits courts, à la vente directe ou locale aux habitants locaux (un producteur qui s'y est mis à 20 minutes de chez moi vit très bien), et donc en bio, à la fois pour ce "bien-être animal" dont parle l'éleveur ici et pour vendre ce que de plus en plus de gens recherchent : de la viande normale, produite par quelqu'un qu'ils connaissent et qui les respecte.
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l europe ne veut plus des exploitations familiales seules les fermes industrielles ont la cote et ca vaut pour d autres metiers
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