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En France, un département en terres arables disparaît sous le béton tous les sept ans. Sur : http://www.editions-rjtp.com/corrompu/media.htm, le film documentaire de Marc Chinal : " Corrompu(e)(s) Grand Stade Ol-Land, syndrome de notre société." Sites des associations concernées, http://lesgonespourgerland.blogspot.fr/ ; http://carton-rouge-decines.fr/ ; http://www.addel-asso.fr/wordpress/ ; http://decinestaresistance.weebly.com/ ; http://rhonenddl.wordpress.com/... 19 juin 2012, café avec les enfants de la butte du Biézin, lieu d'occupation pacifiste en opposition à l'occupation du sol agricole vivant, par le béton du Stade des Lumières, et le bitume de ses dessertes. 20 juin 1012, le seul berger de Décines, ouvrait le pré de ses brebis, au juge des expropriations et aux représentants du Grand Lyon, pour enquêter sur ses futurs manques à gagner, si l'extention de la route Elysée Reclus, traverse le paturage de ses moutons. Moi, et tous les autres ce jour, ont vu, en vérité, ses montons courir à lui dés qu'ils le voient au pré. Je vous le promets, ces moutons, ils aiment leur berger, et leur berger les aiment. Est-ce que ces gens du Grand Lyon le savent ? Est-ce qu'ils donnent un prix à la réduction du paturage qui permet à ces animaux leur sentiment de liberté et de paix unique dans le Grand Lyon justement. Bravo à monsieur Layat, éleveur ovin exceptionnel par le respect et l'amitié avec la quelle il élève ses brebis. Cette vidéo tente de montrer aux mains d'un pauvre amateur maladroit, des prises de vues tremblantes qui témoignent du double langage que tient le Grand Lyon sur son rôle dans la préservation de l'écologie dans sa région, et de l'agriculture péri urbaine qu'il prétend protéger. Bien sûr, l'unique maraîcher de l'Est de Lyon exproprié pour conduire les automobiles au grand stade de l'Olympique Lyonnais à bâtir sur la surface agricole de l'Est de Lyon, est dédommagé pour son activité à perdre, jusqu'à l'heure de sa retraite. Cela ne dédommagera jamais les citoyens de leur perte d'une activité parfaitement durable et écologique, nourricière et sécurisante pour l'avenir de leur communauté urbaine. Par ailleurs, la ville de Chassieu dans laquelle le maraîcher est aidé financièrement à déménager ses serres pérennes et connues de ses riverains, comme ils savent où trouver leur poste ou leur boulanger, sera traversée par une route nouvelle, pourvue d'un tramway qu'elle ne demande pas, une voie nouvelle donc, qui appauvrira son budget annuel de un douzième de ses frais de fonctionnement : la voie nouvelle après trois ans, sera à sa charge d'entretien : soit un million d'euros par an. Le Grand Lyon crée des voies d'observatoire, des parking avec vue, des coins picnic ... dans une commune qui a tout cela sans cette voie nouvelle qu'elle ne désire pas, tout simplement. Les paysans font le pas et le paysage, tout simplement, c'est leur métier. Le comble est que le Grand Lyon publie dans ses revues internes un grenn washing à usage de service visant à conditionner ses troupes si ils venaient à douter. Alors inutile de dire ce que sa capacité évènementielle et informative de la population du Grand Lyon ne laisse pas une occasion de rappeler ses heureuses intentions environnementales. Pourtant par ces compromis faits au football business professionnel, il sacrifie un réservoir d'emploi durable ne demandant aucun autre investissement que de concevoir la structure sociale et professionnelle nécessaire à la production maraîchère locale biologique sur les 60 hectares de terres arables qui séparent Décines de Meyzieu, qui pourraient fournir alimentation et emplois entre ces deux communes. Une activité durable en accords avec tous les principes écologiques qu'ils déclarent avec leur bouches, mais mettent sous le voile opaque de leurs compromis avec le possédants de la richesse et de la finance qui les commande en tout. Pauvre capitale des Gaulles qui cède à l'empire du capital. Lyon, la mémoire de Jean Moulin ne suffit pas à éclairer la conscience de tes tes dirigeants. Stade des Lumières, divers opposants. part.3 Grand Lyon, Gros OL LAND, le berger & ses moutons... Courage au berger de Décines et à ses moutons. Les opposants divers ne semblent pas décidés à céder Décines au fric et à l'opium des sirènes et des paillettes du star'système footballistique et paris associés en bourse ! Au fait, le cours de l'action OL Group ne pousse pas. Si seulement, si seulement Monsieur Olympique Lyonnais et monsieur Leclerc local, se donnaient la main pour créer au Montout une entreprise à vocation d'aide sociale par le travail en maraîchage biologique sur ces soixante hectares, alors, Lyon redeviendrait Capitale de la résistance française à nouveau, face à la dictature des grands groupes financiers qui veulent contrôler jusqu'aux denrées alimentaires à l'échelle de la planète.